En 1952 Freed, devenu un des grands producteurs d’Hollywood, met ses chansons bout à bout pour écrire le film (un peu à la manière d’Un Américain à Paris un an plus tôt). Cette satire légère du milieu du cinéma basculant dans le parlant est une histoire « résolument optimiste du début à la fin et où le professionnalisme, la ténacité, l’amitié et l’amour viennent à bout de toutes les difficultés* ».
L’équipe artistique est emmenée par le metteur en scène Robert Carsen, qui a monté au Châtelet Candide de Bernstein (2006, puis joué au Japon) et My Fair Lady de Lerner & Loewe (2010, 2013, également donné au Mariinsky de Saint-Pétersbourg).
*Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma
D’après le film de la Metro-Goldwyn-Mayer, avec l’accord spécial de Warner Bros. Theatre Ventures, Inc.
Musique publiée par EMI
Produit avec l’accord de Maurice Rosenfield, Lois F. Rosenfield et Cindy Pritzker, Inc.
En accord avec Drama – Paris pour le compte de MusicTheatre International (MTI) – New York
En anglais surtitré – Durée 2h40 avec entracte