La Scène nationale d’Orléans : Théâtre d’Orléans
Le cirque Slava’s Snowshow invite tous les amateurs de spectacles hauts en couleurs à assister à la représentation d’une troupe de clowns. Une expérience visuelle pleine de surprises, où bulles de savon, gigantesque toile d’araignée, tempête de neige et créatures vertes, fantasmagoriques attendent petits et grands.
Le Slava’s Snowshow est de retour, avis de tempête sur Orléans ! Depuis son succès fulgurant en 1999, ce spectacle de clowns se promène aux quatre coins du globe. Du 22 au 26 novembre 2017, il posera ses valises au Théâtre d’Orléans. Plongez dans cet univers féerique et venez vivre avec nous une tempête de bonheur. En 25 ans, le Slava’s Snowshow de Slava Polunin est devenu LA référence du spectacle de clown dans le monde. De Hong-Kong à Sydney, de New York à Paris, ce spectacle propose un voyage merveilleux dans l’univers enneigé de Slava. Sur scène, Assisyai, clown mélancolique et hirsute en barboteuse jaune et pantoufles rouges invite les spectateurs dans d’improbables aventures où se mêlent magie et poésie. Une expérience visuelle pleine de surprises, où bulles de savon, gigantesque toile d’araignée, tempête de neige et créatures vertes, fantasmagoriques attendent petits et grands. Sans dire un mot, la troupe de clowns malicieux et un peu fêlés font de l’art du mime et du clown un objet de théâtre où se jouent nos drames d’adultes comme nos rêves d’éternels enfants. Invitant ainsi les spectateurs à se laisser porter et laisser l’émotion surgir, grandir et se déchaîner comme une tempête ! Une véritable épopée remplie de poésie et de grâce, de farces et de pitreries à découvrir d’urgence ! (à partir de 8 ans).
« Hallucinant ! Ce spectacle nous transporte littéralement, il réveille l’enfant qui sommeille en chacun de nous. Quand tout est terminé, personne ne veut quitter la salle. Jamais encore le rire et les larmes n’avaient été aussi étroitement mêlés. »
“The Independent”
« Le Snowshow est extraordinaire ! Il rendrait heureux l’individu le plus triste et le plus dépressif. »
“The Observer”